Ch'afou

Je suis prise dans la spirale des bouquins Hunger Games, le métro n'a jamais été aussi rapide, le mode automatique plus ou moins fonctionnel mais dangereux du "je marche en lisant" est activé... même jouer à GTA V ne me donne pas autant envie que d'allumer ma liseuse.
Au départ j'étais un peu réfractaire, l'idée du Battle Royale à la sauce US me semblait aussi foireux que tous ces merveilleux films (bouquins pour ce cas là) japonais et autres repris avec des acteurs au brushing parfait. Mais non, rien à voir. Même le film m'a plu, et m'a convaincue de lire les livres.
Par contre pour Game Of Thrones, j'ai assez rapidement quitté le navire. Mais je pense que j'ai laissé le thème fantastique derrière moi depuis un bon moment, suffisamment pour que les noms du genre "Aarya" "Eligouldir" et autres me soulent au plus haut point. Toutes les cinquante pages, il faut retourner en arrière pour comprendre qui est qui, EH OH peut-on aller du point A au point B plus simplement ? Appeler l'elfe Jacques et le dragon Médor ?


Bref. Sans transition.


C'est la première fois que je travaille avec une marque que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, et à moins que vous n'habitiez en Allemagne, elle vous semblera aussi obscure qu'à moi.
Hallhuber, c'est des vêtements classiques, beaux, et j'ai pas mal craqué sur le côté sixties londoniennes de pas mal de pièces. Ce manteau était tout ce qui me manquait, et il envoie du pâté, ouais.





Manteau, ballerines et sac Hallhuber
chemisier Asos
collants Chantal Thomass



Et de la bonne musique des années soixante de Londres ville (rayer la mention inutile) :

All of the lights.

Je ne sais pas comment je me débrouille, j'ai un joli stock de photos prêtes à être postées, mais ne les mets pas en ligne. Le fouet, le fouet !
En même temps, j'ai besoin de ne rien faire de temps en temps, voilà.
Je commence enfin à réfléchir à des bijoux, j'en dessine un pour ma maman et le lui offre pour Noël. La motivation créative a enfin pointé le bout de son nez, après deux ans à ne pas savoir quoi répondre aux gens qui me demandaient où étaient les bijoux que crée. Je prends mon temps, j'ai envie de connaître les techniques, apprendre la 3D... Ca prend du temps.
 
 
À part ça j'avais envie de vous parler d'une toute autre obsession, commune avec Tony : les parfums d'ambiance. Autant la décoration est importante pour nous, autant l'odorat doit suivre. Notre appartement sent l'encens, la bougie, le chat. Je ne parlerai pas des bougies Dyptique, je pense que tout le monde els connait, et puis de toute façon on les sent partout, voilà, cri du cœur.
 
Voici donc quelques uns de nos best-best-youpi :
 
 
Les encens Monoprix :
Pas cher, les odeurs sont géniales, tout comme leurs bougies, et le packaging ne déconne pas. Faut pas déconner. Mention spéciale pour "Ambre".
 
 
 
"Aoyama" d'Astier de Villatte
Offert par nos amours de Fortifem, cet encens risque bien de nous durer longtemps, très longtemps. Il n'est pas forcément nécessaire de les brûler pour sentir leur odeur, ouvrir le paquet suffit largement... Une pure folie.
 
 
 
"Cannelle et mandarine" de chez Muji
Ces japonais sont fortiches, et ça ne m'aide pas de passer tous les jours devant à Saint Lazare. Comme plus haut, pas besoin de l'allumer, la chambre sent Noël tous les jours. Et encore, ils ont sorti un coffret spécial sapin à boules en huiles essentielles, avec entre autres orange et clous de girofle. J'ai passé dix minutes à sniffer dans le magasin. OUI CA ME REND FOLLE.
 
 
 
 
"New Wave" de chez Popup Paris
Paris, c'est minuscule, je me le dis tous les jours. Popup c'est l'idée du copain d'une amie d'amie. Et cette idée est fantastique bien que frustrante pour les gens qui manquent de pot en jeu (comme moi). Une bougie sur 50 cache un diamant, qui apparait par surprise lorsque la cire fond. Mais ce n'est pas le seul truc chouette, non seulement ces bougies sont artisanales, mais en plus elles sentent vraiment, vraiment bon. Seul danger : vouloir la faire fondre le plus vite possible pour savoir si le diamant est là.
 
 
N'hésitez pas à partager vos découvertes, JE SUIS TOUTE ODORAT (hahalol)/

Rue de Verneuil.

J'adore marcher, surtout la nuit dans Paris. On se rend compte qu'on ne lève jamais le nez, qu'en journée, obnubilés par nos pensées, téléphones et boulots, on oublie où l'on vit.
Je ne sais pas ce que c'est que de vivre ailleurs qu'à Paris, mais j'espère que vous aussi, quand vous levez les yeux, vous êtes tout aussi émerveillés que moi.
Ce soir là était particulièrement beau, la lune pleine brillait, les rues étaient vides, un monsieur au catogan poudré, paré comme toujours de ses lunettes noires, se baladait aussi dans ce petit coin de paradis... Allez, un petit tour rue de Verneuil, où non seulement beaucoup de souvenirs me reviennent (bisous Salomé), mais qui en plus est un lieu-clé d'un géant que j'admire... Vous allez deviner qui, forcément.





robe Zara
manteau Topshop
boots Zara
collier Atamé




Lazy sunday.

QUE S'EST T-IL DONC PASSÉ, DEPUIS QUAND 6 DEGRÉS LE MATIN EST-IL DEVENU UNE NORME DE QUI SE MOQUE T-ON ?
En même temps ça a ses avantages, le retour du bon lait chaud, du Mont d'Or et de la raclette, bébé. Le swag, bébé. On se mémérise, on a le bout du nez froid, le chat, lui, a le bout des oreilles froides et nous colle H24.

...

Je crois que je préfère l'hiver à l'été.
Je ne sais pas ce que je veux.


En tout cas pour ma bande son hivernale (ou de tout le temps en fait), je me sers allègrement sur le blog de Kurt Corbeille. Et vous devriez faire de même. Des pépites, du putassier, de la K-Pop jouissive, je ne sais plus à quel saint me vouer.




pull Replay
short Replay
boots Zara

& friends.

Cent fois pardon, mille fois pardon, voilà un énorme moment que je n'ai rien posté. Pour m'excuser, je vous assomme aujourd'hui de pas moins de 24 photos. Oui.

Vous vous souvenez peut-être de Nadia du blog FrouFrouu, je l'avais rencontrée l'année dernière lors de son passage à Paris. C'est fou l'idée que l'on peut se faire des gens en ne les jugeant que sur que l'on voit sur son écran. Je l'imaginais discrète, avec une voix très grave, mais que nenni, que nenni ! J'imagine que vous aussi vous me voyez d'une toute autre façon, et j'ai pu me rendre compte au cours de diverses rencontres que les gens s'imaginent que je suis grande (si seulement), très sombre, rock n roll et très au fait des soirées parisiennes branchées, mais que nenni, que nenni !

Voilà un exemple type de soirée parfaite, malgré la pluie battante de ce soir là et la chaleur étouffante habituelle des clubs que j'avais pourtant oubliée...

Bisous !!!


robe Asos
manteau Ventilo
bottes (sur mesure !) Duo Boots
bijoux Corpus Christi
béret acheté en cours de soirée dans un shop pour touristes